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Compétition de danse
01 avril 2023
Compétition de danse

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L'historique de la commune

1815
La Commune compte 1140 habitants.

1816
Le Conseil Municipal se plaint de l’exiguïté du cimetière autour de l’église.

1824
La municipalité achète pour 25 francs une table et des chaises, « la Mairie n’en ayant jamais eues jusqu’à ce jour ! »

1830
Conquête de l’Algérie : un soldat du 20ème régiment de Ligne, François TERRIEN, né à ST ANDRE le 17 Thermidor, an XII, meurt au camp de Sidi el Ferruche, à la suite de blessures, le 23 juin.

1831
Il y a un instituteur à ST ANDRE. Son traitement annuel figure au compte du budget pour 159,47 francs (passé à 200,00 francs en 1839) avec une indemnité de 30,00 francs pour son logement.

1833
Démolition de la Chapelle Notre-Dame de la Blanche.
Acquisition de l’ancienne Mairie (ancien auditoire avec halles qui avait servi de « collège » à l’abbé MOYON) pour 1 704,00 francs.

1852
Etablissement d’une place autour de la vieille église, à l’emplacement du cimetière.

1870
La guerre fit 2 victimes à ST ANDRE.

1875-1878
Construction de la nouvelle église.

1881-1882
Etablissement du nouveau cimetière dans le champ du « Petit Calvaire », acheté à la veuve DAUCE, née PIRAUD.

1903
Installation de la « bascule ».

1904
1 702 habitants (252 dans le Bourg). C’était l’époque où les brièrons de ST ANDRE allaient, à l’automne, vendre leurs mottes et leurs fagots sur toute la côte, du POULIGUEN à BATZ, avec leurs charrettes. Ils partaient à 2 heures du matin. Le dimanche, ils écoutaient une « messe des brièrons » dite à leur intention, dans l’église du POULIGUEN. Ils revenaient le soir, en ramenant du sel. Ils s’arrêtaient en route pour boire 2 sous de tafia. Ils arrivaient chez eux tard dans la nuit, bien souvent endormis dans leurs charrettes ; heureusement, les chevaux connaissaient le chemin...

1914-1918
La grande guerre coûta la vie à 71 Andréanais.

1920
Le Conseil Municipal décide d’élever un monument aux morts de la guerre 1914-18, sur la Place de l’Eglise, une première pierre est bénie par le curé HODE. Erigé finalement place de la bascule, il est inauguré, le 24 JUILLET 1921, par la municipalité SARZAUD.

1939-1945
Les allemands avaient installé leur cavalerie sous des hangars, dans des champs près de l'église, et des batteries de projecteurs à la "Croix Berthelot", à "l'Angle" et à "Péhaut". La Kommandantur siégeait à l'école publique, route de ST-LYPHARD. ST-ANDRE souffrit des bombardements, principalement le 28 février 1943, quand les vagues d'avions arrosèrent copieusement ST-NAZAIRE. Il y eut à ST ANDRE 80 maisons sinistrées.
On déplora la mort de plusieurs personnes le 28 février dont un enfant et sa grand-mère (Mme MORICE), à "Avrillac" et trois jeunes gens réfugiés sous un pailler, à "La Lande d'Ust".

Suite au crash de son avion, une forteresse volante B17, en mission de bombardement sur Saint-Nazaire le 9 novembre 1942, un aviateur américain, Forrest Dana Hartin, est caché par des Andréanais dans le marais de Brière. Conduit à Blain où il est soigné pendant un mois dans une famille, il échappe aux Allemands et, grâce à l’aide d’un réseau de résistants, il sera au printemps 1943, le premier soldat américain à rejoindre les USA. 70 ans après, Maxime Jeanne, passionné d’histoire locale a retrouvé la fille de cet aviateur, reliant ainsi le passé au présent.

1945/1950 : le village sort de la guerre et se remet lentement du traumatisme.

1967 : les travaux d’alimentation en eau potable sont lancés pour desservir le centre bourg et Bilac ; en 1968, 170 abonnés sont raccordés au réseau.

1974 : sous l’impulsion de la commune, plusieurs lotissements communaux et privés se développent, ce qui représente une centaine de logements. L’augmentation des effectifs scolaires nécessite la construction d’une nouvelle école dans le quartier de la Gaudinais. Complément à cette réalisation, une cantine scolaire accueille également les élèves de l’école Notre-Dame qui y accèdent plus facilement grâce à la création de la rue du Pré Allain.

1975 : les bennes de ré purgation remplacent le tracteur d’Auguste Morantin et une taxe d’enlèvement des ordures ménagères est instituée. Une première dans la commune de 1833 habitants.

1976 : réalisation, par le groupe Barrière, de la 1ère tranche du golf 18 trous (auparavant situé au Pouliguen), associée à la construction d’une centaine de pavillons, ce qui dynamise les finances locales.

1978 : la population s’établit à 2255 habitants.

1979 : la collecte des eaux usées se met en place dans le centre bourg et les secteurs denses, le traitement des déchets est confié au SIVOM, Syndicat Intercommunal à Vocation Multiple de la Région Bauloise.

1980/1981 : construction d’une nouvelle mairie sur le site de l’ancienne « Place de la Mairie » et d’un nouveau bureau de poste doté d’un logement de fonction rue de la Brière.

1982 : la commune compte 2541 habitants, soit une augmentation de 38% en 7 ans.

1983 : création et ouverture de la zone d’activités des Pédras suivie trois ans plus tard de la construction d’un bâtiment relais. Première implantation de la société Setal devenue depuis Gestal.

1984 : face à l’augmentation des effectifs sportifs, la construction d’un complexe sportif devient nécessaire. Construction des 10 premiers logements sociaux dans le 3ème lotissement communal du Parc au Ray.

1985 : à l’étroit rue de Bretagne dans le préau de l’ancienne école publique des filles, les services techniques sont transférés, rue des Guifettes, dans de nouveaux ateliers municipaux.

1986 : arrivée du gaz pour une centaine d’abonnés, symbolisée par l’installation d’une torche devant la mairie. Transformation de l’ancienne école publique en 4 salles polyvalentes, dont une équipée de gradins mobiles pour les soirées théâtrales. 3126 Andréanais recensés.

1988 : impulsion vers l’activité touristique avec l’aménagement, dans une ancienne ferme couverte de chaume, des gîtes du Haut Marland. En mairie, informatisation des services administratifs.

1989 : l’augmentation des effectifs scolaires nécessite la construction d’une nouvelle école maternelle publique à l’architecture innovante. Célébration du bi centenaire de la Révolution Française avec pour fil conducteur « l’eau, la pierre, le feu ». La commune associée à l’Amicale Laïque présente un spectacle dans les ateliers municipaux. Attendue depuis longtemps, la déviation du CD 47 voit enfin le jour.

1990 : 3153 Andréanais sont recensés. La réhabilitation de l’ancienne cure permet d’implanter la bibliothèque (installée en mairie depuis cinq ans), le centre médico-social et de créer 10 logements sociaux dans une extension attenante.
Première structure couverte, deux courts de tennis (cofinancement municipalité/ Tennis Club Andréanais) sont construits au nord du complexe sportif.
La commune adhère à l’APECABL, signe avec l’Etat un contrat d’agglomération de la région nazairienne, ce qui lui permet de bénéficier de financements spécifiques pour son développement.

1991/1992 : s’appuyant sur différentes études, la rénovation du centre bourg se matérialise notamment par les aménagements de la place de l’église.
Le camping municipal des Chalands Fleuris accueille ses premiers vacanciers. L’hébergement touristique est renforcé par la création de six gîtes communaux tandis que des équipements de loisirs : un minigolf et une piscine couverte, ouverte à l’année, voient le jour.
Mise en place des « taxis jaunes », réseau de transport collectif géré par le SIERNA qui dessert 11 communes de l’agglomération nazairienne, du nord au sud Loire.
Ouverture du parc privé de Ker Anas qui présente, héberge et protège plus d’une centaine d’anatidés du monde entier.

1992/1995 : aux Paviolles, deux nouveaux lotissements communaux à vocation sociale sortent de terre, ce qui représente vingt logements construits et gérés par Espace Domicile. Parallèlement, le quartier se voit doté d’une salle municipale multi activités ouverte à tous.

1993 : l’extension du golf nord et sud, qui devient avec 45 trous sur 250 hectares le plus important de la façade Atlantique, s’accompagne de l’ouverture de deux hôtels.
Jusqu’alors installé en mairie, le point info tourisme intègre un local indépendant rue de la Chapelle.

1995 : pour faire face au développement des activités sportives, construction d’un ensemble de salles couvertes permettant la pratique de divers sports : basket, tennis, danse, gymnastique, volley, full contact…

1999 : 3647 habitants sont recensés.

2000 : ouverture de l’espace enfance loisirs Les Roselières qui réunit les services destinés à la petite enfance (accueil périscolaire, accueil de loisirs sans hébergement, halte-garderie) et des salles destinées aux pratiques culturelles et de loisirs (arts plastiques, musique, chant, activités manuelles…).

2001 : la commune quitte le SICAPG, Syndicat Intercommunal de la Côte d’Amour et de la Presqu’île Guérandaise et adhère à la C.A.RE.N.E, Communauté d’Agglomération de la Région Nazairienne et de l’Estuaire, dont elle est déjà partenaire au sein du réseau de transports en commun STRAN.

2003 : la commune compte 4519 habitants.

2004 : mise en service d’un nouveau bâtiment abritant : services techniques municipaux et centre de stockage du matériel associatif, complété par une serre municipale.
Les anciens ateliers municipaux rénovés sont affectés à l’accueil des adolescents âgés de 13 à 17 ans : l’Espace Jeunes est né. Un skate parc voit le jour à proximité des salles sportives « Les Guifettes ».
Extension du groupe scolaire Jules Ferry : 380 m2 à l’école maternelle afin d’abriter 2 classes supplémentaires, une salle de repos, ateliers et sanitaires ; en élémentaire, une nouvelle classe et un préau.
Douze logements locatifs sociaux « Les fossés boisés », à mettre à l’actif du bailleur social Espace Domicile, complètent le programme engagé dans le secteur des Paviolles.

2005 : on recense 4762 habitants.
L’ouverture d’un restaurant scolaire doté d’équipements performants et d’un self-service permet d’offrir un confort accru à l’ensemble des écoliers andréanais du public et du privé ; les salles de l’ancienne cantine sont transformées en salles d’activités, d’espace pour les enseignants de l’école élémentaire.
Très attendue par le milieu associatif, contraint de s’expatrier hors commune pour les soirées dansantes, lotos… l’Espace du Marais, salle socioculturelle compte: une salle parquet avec scène et deux salles plus petites. L’ensemble communiquant peut composer un vaste et unique volume. Destiné à accueillir spectacles, manifestations, expositions… organisés par la municipalité, l’Espace du Marais est accessible aux associations andréanaises, aux particuliers qui peuvent la louer pour leurs évènements familiaux.
De nouvelles voies inter quartiers, la rue des Marais et les pistes vélos, permettent d’accéder à l’ensemble des équipements en privilégiant la sécurité des usagers (piétons, cyclistes, automobilistes).
Le conseil municipal entérine la révision du POS, Plan d’Occupation des Sols, afin de transformer ce document d’organisme en PLU, Plan Local d’Urbanisme.

2006 : première édition de l’Art’Dréanais, un salon ouvert aux artistes professionnels, peintres et sculpteurs, à l’Espace du Marais. Il se tient tous les ans au printemps.
Portés et financés par la Carene, des aménagements sécurisent et embellissent l’entrée de ville côté nord/ouest et un programme de circuits vélo se met en place sur le territoire communal.
Acquis par la ville à proximité de la mairie, un bâtiment en rez-de-chaussée devient la nouvelle salle des mariages, salle du conseil et de réunions.

2007 : la commune compte 4911 habitants.
Le terrain de football en herbe du stade est doté de vestiaires tribunes d’une capacité de 368 places, d’une salle de 60 m2 vitrée avec vue sur la pelouse, d’un bureau, de vestiaires, sanitaires, infirmerie…Un éclairage permet les matches en nocturne.
Le conseil municipal approuve le Plan Local d’Urbanisme.

2008 : première réunion publique concernant la ZAC centre bourg (objet : limitation de l’étalement urbain en cohérence avec la loi SRU, préservation des espaces naturels, répondre aux besoins en logements diversifiés) et présentation du projet d’aménagement de la place de l’église.


2009 : la bibliothèque municipale est agrandie et réaménagée.
Une carrière équestre municipale est créée à proximité de l’Espace du Marais, les tennis extérieurs subissent une réfection complète avec mise en place d’un gazon synthétique.
La SONADEV, Société d’Economie Mixte d’Aménagement de la Région Nazairienne est désignée concessionnaire/aménageur de la ZAC centre bourg (projet d’intérêt communautaire) par la Carene.
La commune accueille le 111ème Congrès de l’Union Départementale des Sapeurs-pompiers.

2010 : vingt pavillons locatifs sociaux (Espace Domicile) sont construits route de Ranlieu, impasse des Frênes et route du Chatelier.
Un Relais d’Assistantes Maternelles est mis en place, un square destiné aux jeunes enfants aménagé rue des Guifettes.
Un terrain multisports (handball, basket, volley…) est installé près du skate parc.
Rénovation de la piscine, devenue structure intercommunale, par la Carene.

2011 : 5249 habitants comptabilisés.
 Réaménagement (sécurisation et embellissement) de l’entrée de ville sud, rue de la Gare.
Mise en place de la gestion informatisée au restaurant scolaire et installation de jeux enfants destinés aux plus grands, rue des Guifettes.


2012 : 5401 habitants.
En complément du réaménagement des rues de la Chapellerie et du Stade, la requalification des entrées de ville se poursuit par l’aménagement de la rue de l’Océan.
Déplacement et mise en place d’un nouveau monument aux morts dans le cimetière.
Début des travaux d’aménagement de la ZAC centre bourg (secteur mairie/église) afin de répondre à 3 objectifs majeurs :
• densifier le centre bourg pour limiter l’étalement urbain, la consommation d’espace et privilégier les circulations douces (piétons, cyclistes) grâce aux aménagements spécifiques des voies.
• offrir des logements diversifiés (individuels ou collectifs) à l’ensemble de la population (jeunes, familles, personnes âgées…).
•  donner une énergie nouvelle à la commune en réorganisant le cœur de ville avec notamment le projet parvis de l’église alliant salle communale, poste, point info tourisme et un programme de logements.
Rénovation globale du hall d’accueil de la mairie et du service urbanisme pour améliorer l’accueil du public. Extension de la gestion informatisée à l’Accueil de Loisirs et à l’Accueil Périscolaire.

2013 : 5509 habitants recensés.
Elaboré de longue date, le projet d’EHPAD, Etablissement d’Hébergement pour Personnes Agées Dépendantes se matérialise avec l’ouverture d’Aolys. Gérée par l’association Argo, la structure accueille 67 résidents en dépendance physique ou psychique, répartis en 4 unités de vie, selon 4 modes d’accueil, en fonction des besoins: accueil permanent, à la journée, temporaire ou d’urgence.
Concrétisation du projet de jardins familiaux partagés avec la mise à disposition d’une quinzaine de parcelles aux adhérents de l’association « Les petits jardins de Saint-André », qu’une convention unit à la commune.
Projet de réalisation d’un Espace Petite Enfance : « Mille Pattes » va réunir dans une structure unique un multi accueil de 24 places (extensible à 30) destiné aux enfants de 0 à 3 ans et le RAM, Relais d’Assistantes Maternelles.